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Travaux de résilience énergétique et alimentaire

Le sujet de la résilience est plus d'actualité de jamais aux vues des questions climatiques et économiques mondiales. Afin de résister à tous les "chocs" qui se profilent et s'adapter de la meilleure manière, nous avons pensé à quelques éléments de réflexion à partager et qui s'inscrivent dans les deux domaines importants que sont l'énergie et l'alimentation. Vous voulez en savoir plus ? Cet article est fait pour vous.

 

Installer des panneaux solaires

Les panneaux solaires thermiques et photovoltaïques permettent de produire de la chaleur et de l'électricité à partir de l'énergie solaire, qui est une ressource d'énergie renouvelable, présente partout bien que variable sur la quantité, et aussi inépuisable. 

Il s’agit donc d’une solution très intéressante pour réduire la dépendance aux énergies fossiles, qui ont des impacts négatifs sur l'environnement et qui sont limitées en quantité.

L'utilisation de panneaux solaires et photovoltaïques permet aussi de lutter contre les changements climatiques en réduisant les émissions de gaz à effet de serre. 

En outre, leur installation amène à réaliser des économies sur les factures d'électricité à long terme.

 

Venez découvrir ce que lacentrale-eco propose dans ce domaine, tant au niveau "produits" que sur nos autres articles :

 

 

S'équiper d'une cuve de stockage d'eau 

L'installation de cuves de stockage d'eau permet d'augmenter la résilience d'une maison ou d'un bâtiment en lui assurant de disposer d'une réserve d'eau en cas de coupure de l'approvisionnement en eau potable ou de pénurie d'eau. 

Cela peut particulièrement être utile en cas de catastrophes naturelles ou de situations de crise, où l'accès à l'eau peut être compromis. 

De plus, l'utilisation de cuves de stockage d'eau peut aider à réduire la dépendance aux réseaux d'eau potable et de traiter l'eau de pluie ou d'autres sources d'eau non potable pour l'utiliser dans les toilettes, le jardinage et d'autres activités domestiques. 

Pour bien faire la différence entre stockage d'eau potable et non potable, il existe différents types de cuves. Parmi les cuves en plastique, certaines sont en plastique alimentaire certifié et d'autres non. Il faudra donc faire attention à cet aspect si vous souhaitez investir dans ces types de contenants.

Enfin, l'installation de cuves de stockage d'eau peut contribuer à la préservation de la qualité de l'eau en réduisant la pression sur les ressources en eau et en permettant de mieux gérer les eaux de ruissellement et de réutiliser l'eau traitée.

 

Si vous désirez un devis pour une cuve et voir l'étendue de nos offres, n'hésitez pas à consulter notre site Lacentrale-eco.com.

 

Voir nos articles sur le sujet :

 

Utiliser des purificateurs d’eau

Dans la continuité du stockage d’eau et en complémentarité, le purificateur d’eau permet d’obtenir de l’eau propre. Certains modèles sont transportables et permettent de récupérer de l’eau où on la trouve, même au cœur d’une randonnée.

Disposer d’un purificateur d’eau permet aussi de gagner beaucoup en résilience. Le purificateur d'eau ORISA en est un excellent exemple. D'autant qu'il est utilisé parmi les plus grandes ONG pour secourir les populations en manque d'eau ou qui sont soumis à des risques naturels.

Outre les purificateurs, vous avez aussi des systèmes UV de purification d'eau de pluie et d'eau destinée à la consommation, qui viennent éliminer très efficacement les bactéries à installer chez soi.

La limites des dispositifs de purification d'eau, peu importe ceux qui existent sur le marché, résidera en particulier sur le manque de performance au niveau de la purification des éléments polluants. Analyser l'eau avant d'en faire quelque chose peut donc être une bonne idée.

 

La question épineuse de l’éolienne

La question de l’éolienne se pose. Si on peut lui trouver un certain nombre d’avantages, elle se retrouve au cœur des débats pour la raison principale de son impact carbone en bout de course.

Bien qu’elles soient une source d'énergie renouvelable et propre à priori. Qu’elles ne produisent pas de pollution de l'air, peu coûteuses à entretenir, utilisables dans de nombreux endroits, y compris dans des zones isolées qui sont difficiles à alimenter en électricité de manière conventionnelle et conviennent à des habitats individuels sous certaines conditions, les éoliennes ont aussi quelques défauts !

Leur implantation demande une quantité gigantesque de béton alors que ce dernier a un impact-carbone désastreux. Si l'on veut remplacer une éolienne par une autre, il faut casser la dalle de béton qui la tient et en refaire une autre. Rien ne permet aujourd’hui de faire autrement.

De plus, elles demandent un espace assez vaste pour être installées, ce qui peut poser des problèmes dans certaines régions densément peuplées. Elles perturbent les oiseaux et chauves-souris, sont bruyantes et peu esthétiques selon certaines personnes. Elles dépendent aussi de la force du vent, ce qui peut rendre leur production d'électricité instable.

Le sujet de la résilience sur cette question est donc très discutable par conséquences environnementales et de la constance de production notamment. 

 

S'équiper d'une turbine hydraulique

La turbine hydraulique permet de convertir l'énergie de l'eau en énergie mécanique, qui peut être utilisée pour produire de l'électricité. 

Elle est généralement utilisée dans les centrales hydroélectriques pour produire de l'électricité à partir de l'énergie cinétique de l'eau en mouvement, comme dans les chutes d'eau ou les rivières de façon individuelle.

Les turbines hydrauliques peuvent offrir une plus grande résilience par rapport à d'autres sources d'énergie, car elles peuvent être utilisées dans de nombreux contextes différents et sont moins dépendantes de conditions météorologiques spécifiques. 

Par exemple, elles peuvent être utilisées dans des régions où le vent est faible ou instable, ou dans des régions où le soleil ne brille pas toujours

De plus, les centrales hydroélectriques peuvent être conçues pour qu'elles puissent fonctionner en mode déconnecté du réseau électrique, ce qui peut être utile en cas de panne de courant ou de catastrophes naturelles.

 

Mettre en place un frigo low tech

Le frigo low tech est un réfrigérateur qui utilise des technologies simples et peu énergivores pour maintenir les aliments au frais. 

Il peut être alimenté par des sources d'énergie alternatives, telles que le soleil (oui !), et est conçu pour fonctionner de manière efficace même lorsque l'accès à l'électricité est limité. Il faudrait s'intéresser au système inventé par Coca-Cola (sans vouloir leur faire de la publicité), appelé le "Bio Cooler" et utilisé en Amérique latine qui en dit long.

Le frigo low tech peut offrir une plus grande résilience dans certaines situations, en particulier dans les régions où l'accès à l'électricité est instable ou limité. 

Il peut également être utilisé pour réduire la dépendance aux sources d'énergie conventionnelles, en particulier lorsqu'il est alimenté par des sources d'énergie renouvelables. 

Le Groundfridge vous donnera des idées particulièrement intéressantes. Ce frigo low tech nous vient des Pays-Bas et a été inventé par un designeur du nom de Floris Schoonderbeek.

Grâce à moins d'électricité, il peut ainsi contribuer à réduire les émissions de gaz à effet de serre liées à la production d'électricité.

Toutefois, il est bon de savoir que dans la plupart des conceptions de frigo low tech, les produits tels que la viande, le lait, les yaourts, ne sont pas la meilleure place où mettre ces aliments. Cependant, cela peut réduire la taille du frigo, ou permettre d'adopter un autre mode de consommation.

 

S'équiper d'un séchoir à fruits et légumes

Un séchoir à fruits et légumes permet de sécher et de conserver des fruits et des légumes pour les rendre plus durables. 

Le séchage est un moyen de conservation utilisé depuis des millénaires pour prolonger la durée de vie des aliments et prévenir leur pourrissement.

Le séchoir à fruits et légumes peut offrir une plus grande résilience en assurant de conserver des aliments de manière durable, même lorsque l'accès à l'électricité est limité. 

Cela peut particulièrement être utile dans les régions où l'approvisionnement en aliments frais est difficile ou coûteux, lorsque les aliments sont produits localement et que la saison de production est courte, ou lorsqu’on désire faire quelques économies en faisant sécher les produits lorsqu’ils sont en abondance, et donc moins cher ou très accessible, pour les ressortir plus tard dans les saisons. 

Si cela vous donne envie, il est très facile de trouver des plans pour fabriquer soi-même son séchoir sur internet.

 

Chauffer son repas de manière résiliente

Installer un four solaire

Un four solaire est un appareil qui utilise l'énergie solaire pour cuire et chauffer les aliments. 

Il est généralement conçu pour être portable et peut être utilisé dans de nombreux contextes différents.

Le four solaire peut offrir une plus grande résilience en permettant de cuisiner et de chauffer les aliments sans avoir besoin d'une source d'électricité ou de combustible.

Cela peut particulièrement être utile dans les régions où l'accès à ces ressources est limité ou coûteux, ou dans les situations où il est souhaitable de réduire la dépendance aux sources d'énergie conventionnelles. 

De plus, le four solaire peut être utilisé pour cuisiner sans produire de fumée ni de gaz à effet de serre, ce qui peut contribuer à améliorer la qualité de l'air et à protéger l'environnement.

 

Utiliser la fameuse Cocotte norvégienne

La « cocotte norvégienne » emprunte de nombreux noms. On l’appelle aussi la « marmite norvégienne », la « caisse à cuire » ou encore, « le cuiseur thermique ou thermos ».

Plus qu’un objet, elle désigne aussi un process de cuisson hérité de Norvège et qui a plus de 150 ans. 

Ce process très simple et basique permet de faire mijoter les aliments. Comme si vous les mettiez à feu doux pendant une demi-journée, en lui ayant donné seulement 15 min de cuisson. 

Vous obtenez alors un excellent plat de saveur, tout en ayant fait des économies d’énergie assez surprenantes.

Son principe général : faire cuire 15 min un plat dans une cocotte et poursuivre la cuisson en plaçant la cocotte tout juste sortie du feu, dans une caisse isolante entourée d’un linge. Vous pouvez faire tout à fait autre chose sans vous inquiéter de la surveiller, et même vous absenter pour ne revenir que le soir.

Les couches d’isolants entourant la marmite vont permettre de conserver la chaleur le plus longtemps possible. La déperdition de chaleur sera donc très lente, ne permettant pas à votre plat de cramer. 

Certains contenants possèderont même des parois réfléchissantes, qui vont renvoyer les rayons vers la cocotte afin de conserver, mieux encore, la chaleur pour cette cuisson.

Cet ingénieux système fait ainsi de la cocotte norvégienne, un instrument de cuisson low tech, érigeant en ce sens cette vieille tradition, au rang des meilleurs systèmes de résiliences, puisqu’elle aide à gagner à tous les niveaux : plus d’économies au sens large, moins de gaz à effet de serre, et également, moins de dépendances.

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